Israël Eliraz

 

Israël Eliraz

 

Né à Jérusalem en 1936, Israël Eliraz est considéré comme un poète majeur dans son pays . Traduit en français à partir de 1994, il s'est attaché de nombreux lecteurs en France 

Eliraz a commencé par écrire des romans, des pièces de théâtre, des opéras avec Joseph Tal .

Le Nouveau Commerce, les éditions Unes ,  Taillis Pré , José Corti ont publié sa poésie. Il participe à plusieurs  revues dont Europe, Le Mensuel littéraire et poétique


"Israël Eliraz rend à son lecteur de passe ou de passage, la confiance comme il donne à son jeune pays une véritable perspective de vie, et d'avenir. Etonnant pour un poète? Avec Eliraz, la poésie écrite en Israël entre dans la modernité. Le passé, disait-il lors d'une conférence au Centre Communautaire Juif Laïc de Bruxelles, le 8 septembre 1998, est révolu, il s'agit de penser à l'avenir. Son oeuvre poétique se déroule en cycles de regards, en mouvements de l'oeil, adressés à l'amour : Tout s'en va vers un même lieu, vers l'amour."

Gaspard Hons

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Publications

Laisse-moi te parler comme à un cheval eds José Corti 2005

Dîner avec Spinoza et quelques amis José Corti 2004

Porte rouge, poésie Le Taillis Pré 2004

Comment entrer dans la chambre..., José Corti, 2003

Rapport de l'arpenteur suivi de Thabor, ed. Le Taillis Pré, 2002, Belgique

Abeilles / Obstacles , poèmes éditions Corti 2002

L'abeille incarne cette imperceptible apparition du réel qui est le perpétuel surgissement de ce que nous ne savons percevoir : Elle ouvre cette minuscule embrasure dans l'obstacle opaque - la "surdité des éléments ou des choses. Comme la parole poétique elle est une panne de son, un silence dans le langage, un suspens du sens et donc de la perception :

"Tends l'oreille :

si tu n'entends rien

- c'est l'abeille." Jacques Ancet

Hölderlin suivi de Thabor Atelier des Brisants, 2001


Oiseaux et autres poèmes , eds Apogée 2000

Herbes, ed. Le Taillis Pré, 2000, Belgique

Petites bêtes, traduit de l'hébreu par Colette Salem et Bernard Noël, La Chapelle-Chaussée, Dana, 1999

Petit carnet du Levant, José Corti 2001

le lecteur l'accompagne dans sa marche poétique sur son sol natal, une marche qui s'intensifie dans les deux suites de poèmes
 

Promenade, suivi de Neuf poèmes d'amour pour une femme, traduit d'Esther Orner Nouveau Commerce 1994

La fin de la promenade est devant nous et après? Que la sandale décide, et l'été tranchera.- Tout Eliraz est là, et, ajoute-t-il dans "Promenade", l'amour est à notre portée. Gaspard Hons